Un brin de tourisme dans Montréal

Retour direct sur Montréal par le même autoroute et il neige toujours (c’est vrai qu’il est entièrement recouvert de neige et que Robert conduit comme nous en France en plein été), nous avons encore le droit à l’un des plus grands hôtels de la ville, l’hôtel « Renaissance » et nous avons de nouveau une splendide chambre.

Nous irons ensuite dîner en ville au restaurant « Fripon » (lotte et tournedos au menu) puis ferons un petit tour dans les galeries.

De retour à l’hôtel, nous profiterons de notre salle de bain car il est bon de se délasser un long moment dans une aussi grande baignoire. Nous nous endormirons ensuite bien fatigués de notre journée mais avec la tête déjà pleine de souvenirs heureux.

Lundi 19 Février 2001

Lever à 6 heures 30 et donc toujours de bonne heure car Robert doit nous récupérer tôt et nous a promis beaucoup de choses. Ce matin il fait un temps superbe mais le thermomètre indique un petit – 20°. Le petit déjeuner est toujours aussi copieux et nous en profitons bien... on ne sait jamais si on ne trouvait pas ensuite le temps de déjeuner à midi.

A l’heure prévue, je crois que c’est 8 heures, Robert est là. Ce qu’il y a de bien aussi, partout où nous allons, c’est que jamais nous nous occupons de nos bagages, ce sont les gens de l’hôtel qui s’en chargent et Robert qui les range dans le « 4 X 4 » et les descend lorsque nous arrivons quelque part.

Toute la matinée nous allons visiter la ville de Montréal en commençant tout d’abord par la ville souterraine. En effet afin de pouvoir se déplacer plus aisément d’un immeuble à l’autre et continuer à mener des activités normales en hiver, une ville totalement souterraine a été construite avec ses cafés, ses banques, ses magasins et on peut même y côtoyer le métro.

Ensuite en voiture, nous passerons devant la patinoire, au pied de l’escalier de l’oratoire St Joseph (escalier que les pèlerins gravissent à genoux), le cimetière (entièrement recouvert d’une épaisse couche de neige... mais comment peuvent-ils enterrer les gens ?), le Mont Royal (au fait savez-vous d’où est né le nom de cette ville ? C’est lorsque Jacques Cartier est monté au sommet de cette colline et qu’il regardait la vue qu’il s’est écrié : « Ce mont est royal », d’où l’appellation retenue de « Montréal »), l’Université avec ses 50 000 étudiants dont 3 000 Français (1/3 de ces derniers ne repartiront pas car ils trouveront ici l’amour de leur vie et on les y aidera parfois de même qu’on leur fera souvent des « ponts d’or » pour les encourager à rester), le port (25 km. de quai), la rue Sainte Catherine (15 km. de longueur), l’île Ste Hélène, l’église Notre Dame, le quartier du Vieux Port.

C’est là que nous nous arrêterons pour déjeuner au restaurant qui d’ailleurs porte le même nom. Je suis étonné de tous ces palaces où nous descendons, toujours superbement bien accueillis, d’ailleurs Robert est connu partout où nous entrons...

L’heure est déjà bien avancée et nous devons reprendre la route... cette fois-ci, enfin, nous allons finir de faire du « tourisme »... pour nous l’aventure va réellement commencer... c’est bien pour cela que mon papa nous a conduit ici d’ailleurs alors allons-y.

 

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