Henri  Prat


(1814 - 1885)




Philbert Joseph Henri Prat nous a laissé 7 gros cahiers, 1662 pages, écrits de sa main, qui relatent toute une vie, une vie très riche de rencontres et de réflexions sur les événements qu’a connu la France pendant toute cette période, (deux révolutions, une guerre...), sur la vie sociale, mondaine, littéraire et artistique. Ces cahiers ont été retrouvés dans les affaires de Pierre Morize. L’écriture est parfois difficile à lire, surtout quand il s’agit de transcrire les très nombreux noms propres. Il est donc possible que certains noms n’aient pas été correctement orthographiés. Le travail de copie du manuscrit est complété par une recherche sur les personnages qui accompagnent le récit. Malheureusement ce travail n’a pu encore qu’être ébauché et pourrait se poursuivre avec toutes personnes intéressées.

La suite de ces mémoires pourrait paraître au fur et à mesure que le travail se poursuivra à un rythme qui dépendra de la disponibilité de votre éditeur, mais aussi de l’intérêt que les lecteurs auront manifesté pour ce travail. Sachez qu’il pourrait y avoir dix volumes de l’importance de celui qui vous est présenté aujourd’hui. Déjà un deuxième tome est pratiquement prêt et pourrait vous être proposé dans les prochains mois.

                                                                                Les Essarts le Roi, le 1 Septembre 1996

                                                                                                    Jean MORIZE







Après avoir retranscrit sur ce site les deux premiers tomes des Mémoires de notre arrière-arrière-grand-père Philibert, Joseph, Henri Prat, je reprends et poursuis à mon tour la frappe de ces cahiers qui retracent, sur la quasi-totalité du 19ème siècle, non seulement la vie de cet aïeul mais aussi et surtout l’histoire d’une certaine société française au milieu de laquelle il évolue côtoyant, de part sa vie active et professionnelle, des personnages qui se sont illustrés dans l’histoire et la littérature de notre pays.

L’ensemble de ces écrits familiaux, de quelque aïeul qu’ils nous proviennent, représente un véritable trésor en perdition que nous avons le devoir de sauvegarder et de transmettre aux générations futures.

C’est là le but essentiel de ce site familial et personnel.

                                                                                Pont Sainte Maxence, le 17 Octobre 2006

                                                                                                     Philippe MORIZE