Annaëlle

Annaëlle

fille d’Agnès (fille de mon frère Henri) et d’Arnaud Erard

Etymologie : D’origine hébraïque, ce prénom provient de « Hannah » signifiant « grâce »

Histoire de ce prénom : ce prénom est l’un des dérivés bretons du prénom Anne. On l’a tout d’abord trouvé sous la forme masculine de Anaël, la forme féminine serait une innovation des années 1960 et est fréquemment attribué avec un ou deux « n ».

Autres formes du prénom : Ana, Anaïs, Anica, Anita, Anna, Annabelle, Anne, Annette, Annick, Annicka, Annie, Anouchka, Anouck.

Fête : 26 Juillet

Annaëlle est liée à Sainte Anne, qui elle-ême est liée à Saint Joachim, ce sont les parents de la Vierge Marie.

Il s'agit d'un couple qui vit dans la discrétion et qui éduqua celle qui allait devenir la mère de Jésus dans la grâce qui était tout naturellement la sienne.

C’est au 6ème siècle seulement qu’apparait le culte de Sainte Anne au sein de certaines liturgies orientales puis dans les liturgies de l’Occident au 8ème siècle, mais c’est l’Église d’Apt qui est l’une des premières en Occident a la mettre en honneur au cours du 12ème siècle bien avant donc que son culte soit généralisé vers la fin du 14ème. On la représente souvent en compagnie de leur fille, Marie, lui apprenant à lire dans le livre de la bible ou encore la conduisant au Temple.

Après plusieurs apparitions à un paysan du village de Kéranna, Yves Nicolazic, en 1623 et 1624, puis la découverte par cette même personne, dans un champ, d’une statue miraculeuse de Sainte Anne taillée dans du bois et datée de l’an 701, la Bretagne veut célébrer Sainte Anne en lui construisant une basilique à Sainte-Anne d’Auray en un lieu où une chapelle lui avait déjà été dédiée avant d’être ruinée dans les années 700 et d2cide de la prendre pour patronne. C’est ici aussi que se déroule le plus grand pardon breton et que viennent en pèlerinage des dizaines de milliers de personnes. De leur côté les marins, dès lors, la considèrent comme leur protectrice.

Elle est aussi la patronne de la Province du Québec au Canada dont tous les diocèses ont au moins une église qui lui est dédiée.