ma grand’mère paternelle
« Ce cahier est pour moi seule, car j’y ai mis mon âme à nu,
sans me préoccuper des voiles dont la pudeur la plus rudimentaire oblige
qu’on l’enveloppe pour la produire aux yeux d’autrui » (Madeleine Prat)
A cette grand’mère, de mon enfance, de mon adolescence et du début de ma vie d’homme,
à cette grand’mère que j’ai tant chérie et qui nous l’a si bien rendu.
« Elle a passé en faisant le bien.
Chacun appréciait la bonté de son cœur et son inépuisable bienveillance.
Elle fut aimée de tous ceux qui l’ont connue. »
Merci à elle de nous avoir laissé, avec tant de beauté, de poésie mais aussi d’amour, ces récits de sa jeunesse. Puissent-ils la faire revivre encore longtemps dans nos cœurs et nos pensées.
Merci aussi à mes frères Jean et Hervé pour m’avoir procuré les documents qu’ils avaient en leur possession et qui m’ont permis de parachever cette grande œuvre.
Merci aussi à tous ceux qui, par la suite, pourront m’aider à la compléter par des photos, des cartes, des récits qu’ils détiendraient encore en leurs mains.
Fait à Pont Sainte Maxence
ce 18 juin de l’an de grâce 2002
par nous, Philippe Morize
né à Dignes le 2 juin 1942
de Pierre Morize et de Paule Le Marois
« Mais laissons dormir le passé trop cher
« Dans le grand caveau qui prend toute chose
« Et soyez béni pour votre œillet clair
« Qui met un rayon sur la tombe close
Madeleine Morize
2 juillet 1917